Je peux lui laisser un message ?
Je peux lui laisser un message ?Je vais vous raconter encore une de mes petites histoires, beaucoup plus fraiche cette fois ci, puisqu’elle date d’il y à a peine quelques heures…Pour ceux qui me lisent pour la première fois, je suis étudiante, 19 ans et complètement… nymphomane ! C’est vendredi, et comme tous les vendredis je me prépare pour rentrer le week-end chez mes parents. Je décide de faire une machinée de linge avant de partir, et tout y passe : je me déshabille dans le couloir et jette toutes mes fringues dans la machines.On frappe à la porte (ce n’est jamais au bon moment), je ne porte plus qu’un string, je ne peux pas aller ouvrir comme ça. Je passe donc vite fait dans la salle de bain et enroule une serviette autour de moi. Je vais ouvrir, c’est Fred, le nouveau petit ami de l’une de mes coloc. C’est un grand black musclé et bien monté (je l’ai déjà surpris sur ma coloc’ sur la table de la cuisine…). Je l’invite à rentré, et je lui dis que Lucie (sa petite amie donc) n’est pas là, elle est déjà rentrée pour le week-end. Il me dit que non, ce n’est pas possible, ils avaient prévu d’aller au cinéma (voir “les infidèles”… coïncidence ?). Je l’invite à boire un verre, ce qu’il accepte. Je le laisse le illegal bahis temps d’aller enfilé quelque chose : les seuls vêtements qui ne sont pas dans la machines sont mes robes de soirées, toutes plus courtes les unes que les autres. Ça fera l’affaire. Je le rejoins dans le canapé et me sert un verre de vin (je déteste ça). Il ne faudrait pas qu’il soit venu pour rien, je mets donc tout en œuvre pour lui faire passer un moment agréable. J’enchaîne les pauses les plus aguichantes qu’il soit, mais Fred reste de marbre et ne fait que parler du lapin que Lucie venait de lui poser… il va falloir passer à la vitesse supérieure, je me lève et fait volontairement tombé mon verre sur ses genoux. Son jeans est tout salit, et comme dans les films je lui dis de l’enlever pour y mettre du sel pour faire partir la tâche. Il n’hésite pas une minute et fonce à la cuisine le jeans à la main. Le sel n’est pas bien efficace, je lui dis que je vais le passer à la machine… je le laisse quelques secondes, et quand je reviens je vois que l’avant de son boxer, en plus d’être extrêmement excitant, est lui aussi taché de vin. Je lui dis de l’enlever, mais il refuse… J’insiste, et face à ses refus je me met à genoux devant lui et le lui baisse. illegal bahis siteleri Dans l’élan et par la petite excitation qu’il ressentait, sa grosse queue d’ébène a rebondit dans mon nez. Il m’aide à me relever et s’excuse, je lui explique que c’est plutôt flatteur de la voir se dresser comme ça. Je ne peux plus quitter son braquemart des yeux, si gros, et de plus en plus dur. Il tente de cacher la bête avec ses mains, mais c’est sans espoir.Il est temps de passer la troisième. Je lui demande :” tu penses que sucer c’est trompé ?-Quoi ? Qu’est ce que ?…, dit-il avec la queue qui ne fait que gonfler.-Elle à l’air délicieuse, dis-je alors que je la caresse du bout des doigts.-On ne devrait pas…-chut”Je le pousse dans le canapé, et me baisse, je prends cette grosse queue en bouche, elle durcie entre mes lèvres. Il finit de se déshabiller et m’enlève ma robe. Il se lève, me jette dans le canapé et vient me mordiller un téton. Il descend le long de mon corps, un frisson s’empare de moi, il m’enlève mon string et sa langue experte vient titiller mon clitoris, si bien que sans que je m’en rende compte, je venais de lui arroser les lèvres de cyprine.Il est temps de passer la quatrième ! Je cours vite dans canlı bahis siteleri ma chambre att****r une capote et retourne au salon. Je déroule la capote autour de son gland… J’ai prévu trop petit. Heureusement, il avait tout prévu et en sort une de la poche de sa veste. Je lui dis de se dépêcher, vite ! Et sans que j’aie le temps de comprendre ce qui se passait, il était déjà au fond de moi. C’est si puissant que plus aucun son ne sort de ma bouche, je lui agrippe les fesses, ma petite chatte toute étroites comprime complètement cette grosse queue noire, tellement qu’il a du mal à ressortir son gland. Je jouie deux, trois puis quatre fois en à peine dix minutes. Il me prend en levrette sur le canapé et il me dit qu’il va jouir. Je me retourne il avait retiré sa capote et il gicle tout sur mes fesses. Je m’empresse d’att****r la dernière goutte qui coule de son manche, un petit gout salé délicat…Je me relève et embrasse ce bel étalon à pleine bouche. Son foutre chaud coule sur mes fesses. Il va chercher son linge propre et se rhabille, je lui donne mon numéro de téléphone et il s’en va.Environ une heure plus tard j’entends une clef dans la serrure de l’appartement, c’est Lucie. Elle me dit ” Tu as reçu mon message ? Tu as prévenu Fred que j’aurais deux heures de retard comme je te l’avais demandé ?-Oui, je lui ai dis, du coup il est partit, il a dit que le ciné ça sera pour une autre fois…”Et oui, j’ai mentis mais… Que ne ferais-je pas pour une si belle bite ?
